Ce qu’il faut savoir en 2021!

La saison de la Formule 1 commence aujourd’hui avec le Grand Prix de Bahrein. Beaucoup de choses ont changé cette année. Pour vous aider à vous retrouver, nous vous avons préparé un petit briefing sur le profil des écuries et leurs pilotes.

La COVID-19 continue à avoir un impact sur la Formule 1. Compte tenu de la disponibilité de certaines composantes et des ressources en temps de pandémie, incluant financières et de main d’œuvre, la FiA a mis en place des changements pour atténuer ces impacts tout en rehaussant la compétitivité dans ce sport.

L’un des changements les plus importants, la réduction des appuis aérodynamiques, aura certainement comme effet un nivellement du terrain de jeu. Les vitesses de pointe des voitures seront réduites, ce qui fera en sorte que les écarts de temps entre les voitures se rétréciront. Cette mesure promet plus d’action, surtout en milieu de peloton, où six des écuries peuvent aspirer à une troisième place cette année.

Au niveau des pneus, Pirelli continue d’être le seul manufacturier à offrir des pneus cette année. Les composés de caoutchouc sont très semblables à ceux de l’an dernier, mais devraient s’avérer plus durables. Le grand changement au niveau des pneumatiques devra attendre à la prochaine saison, où on passera à des pneus 18 pouces, au lieu des pneus 13po qu’on voit présentement.

Une autre mesure digne de mention, sont les restrictions au niveau des modifications qui ont pu être apportées aux monoplaces avant le début de la saison. Il a été interdit aux écuries de développer de nouvelles voitures pour 2021. Donc il fallait se tenir à un nombre très restreint de changements aux composantes mécaniques. De plus, les groupes motopropulseurs demeureront inchangés à partir de la première course pour la durée de la saison.

Finalement, une mesure qui risque de ne pas plaire à tout le monde, un plafond bugétaire à été établi à 145M$ USD. Malgré que le plafond exclue le salaire des pilotes et des principaux dirigeants ainsi que les dépenses en développement des moteurs et marketing, cette mesure vient niveller significativement le terrain de jeu pour les plus petites écuries.   

 

Mercedes-AMG Petronas

Les grands gagnants de l’année dernière demeurent invaincus depuis les sept dernières années. Ils se sont établis comme une dynastie difficile à déloger.

Pour 2021, Mercedes est l’une de seulement trois écuries qui conserve les mêmes pilotes que l’année dernière : le Champion du monde en titre, Lewis Hamilton et son coéquipier, le finlandais Valtteri Bottas.

Cette année Lewis Hamilton est à la recherche de son huitième titre de Champion mondial, pour battre ainsi le record de Michael Schumacher. Étant super impliqué dans diverses causes humanitaires et d’antiracisme, Hamilton a signé un contrat d’un an seulement. Ayant atteint l’excellence dans ce sport, son focus semble diversifier, mettant davantage emphase à la promotion de ces causes qu’à la recherche de championnats.

De son côté, Valtteri Bottas, fatigué et frustré d’être fréquemment derrière Hamilton, il cherche à sortir de l’ombre et ainsi démontrer son vrai talent.

Au niveau de la direction, la stabilité continue avec Toto Wolff, qui est non-seulement le Directeur de l’équipe, mais il est aussi PDG de l’écurie et l’un des actionnaires majoritaires avec 33% des parts. Depuis son arrivée à la tête de l’écurie, Mercedes a gagné 102 des 138 courses.

 

Red Bull Racing Honda

La seule écurie qui talonnait Mercedes en 2020 était l’écurie Red Bull. Le constructeur a réussi deux victoires et neuf podiums au total l’an dernier, ce qui a encouragé une panoplie de changements pendant l’année, et leur pilote Alex Albon a été largué, compte tenu du fait qu’il n’a réussi que deux podiums au cours de la saison. Red Bull a tout de même terminé la saison dernière sur un élan, et la monoplace semble être au point pour l’année 2021. Un nouveau moteur signé Honda propulse la voiture, malgré que la compagnie japonaise ne participera plus en Formule 1 à partir de l’an prochain.

Le pilote vedette de l’équipe est Max Verstappen, un jeune pilote de 23 ans avec beaucoup de cœur au ventre et une attitude parfois téméraire et irrévérente. Il est possible que le talent soit dans ses gênes, car il est le fils de Jos Verstappen, un ancien pilote de Formule 1. L’an dernier, Max a renouvelé son contrat avec Red Bull jusqu’en 2023, et maintenant avec sept ans d’expérience en Formule 1 il est un candidat sérieux au titre de Champion du Monde.

La grande nouvelle dans le paddock Red Bull pour 2021 est l’arrivée de Sergio Perez. Ce vétéran mexicain a connu une bonne saison l’an dernier avec Racing Point, mais a été surpris en fin de saison quand l’écurie l’a remplacé par Sebastian Vettel. Perez qui croyait devoir accrocher son volant, se trouve maintenant assis dans une des monoplaces les plus rapides. Ceci dit, le grand patron de Red Bull, Christian Horner, a saisi une opportunité unique d’aller chercher un pilote d’expérience qui vient avec des commanditaires aux poches profondes, pour épauler Max Verstappen et continuer la lancée fulgurante de Red Bull.

 

McLaren

L’une des écuries les plus prestigieuses dans l’histoire de la F1, McLaren a subi beaucoup de hauts et de bas dans les dernières années. En 2020, la chance leur a souri avec les déboires chez Ferrari et surtout chez Racing Point, leur permettant ainsi de terminer la saison en troisième position. En 2021, leur monoplace est maintenant motivée par un moteur Mercedes, qui prend la place du moteur Renault. Double pied de nez à Renault, non-seulement ils ne sont plus partenaires au niveau moteur, mais l’écurie a aussi réussi à attirer leur pilote vedette : Daniel Ricciardo, qui prendra la place de Carlos Sainz.

Daniel Ricciardo est à sa troisième écurie en quatre ans. Tout ce changement ne semble pas effacer son grand sourire contagieux, qui est devenu sa marque de commerce. Ceci dit, Daniel devra faire preuve de stabilité, mais force est d’admettre qu’une motorisation Mercedes dans un châssis McLaren peut le rapprocher de son objectif ultime de devenir Champion du monde. Surtout qu’un volant chez Ferrari ne semble pas lui être destiné pour le futur prévisible.

Lando Norris est un jeune pilote britannique qui n’est qu’à sa troisième saison en Formule 1. Malgré son talent inné, Lando a su prendre sa place et jouer du coude avec son ancien co-équipier. Il risque de bénéficier grandement d’avoir une grosse pointure comme Daniel Ricciardo à ses côtés, pour davantage se développer.

Pas de changements majeurs au niveau du leadership chez McLaren, où Andreas Seidl, le Chef d’équipe, et Zak Brown, le PDG de McLaren Racing continuent à diriger l’équipe.

 

Aston Martin Cognizant

L’écurie connue sous le nom de Racing Point n’est plus, elle s’est maintenant transformée en Aston Martin Cognizant. Cette écurie est probablement celle qui a le plus rapidement évolué dans les dernières années. Sur le bord de la faillite en 2018 et sans beaucoup de succès, l’écurie Force India a été reprise par un consortium d’investisseurs dirigé par l’entrepreneur canadien Lawrence Stroll, qui a transformé l’écurie de Racing Point à aujourd’hui Aston Martin. L’injection d’investissements s’est fait sentir l’an dernier, où ayant calqué plusieurs composantes de la monoplace Mercedes de 2019, les voitures de l’écurie Racing Point ont rapidement grimpé au niveau du tableau des points, se méritant ainsi le surnom des « Mercedes roses ». La fin de la saison 2020 a été prometteuse pour Racing Point et le co-développement avec Mercedes et le nouveau partenariat avec Aston Martin sont certainement des gages de confiance pour 2021.

Le pilote canadien Lance Stroll est de retour bien évidemment dans les rangs de l’écurie à son père. Ceci dit, il n’est pas juste un jeune héritier, il a su démontrer à plusieurs reprises qu’il mérite sa place en Formule 1, surtout avec ses prouesses sous la pluie. Avec un nouveau mentor à ses côtés, Lance a le potentiel de devenir l’un des grands noms en F1.

Un des échanges qui a fait le plus jaser dans le monde de la Formule 1 est celui de Sebastian Vettel. Ce quadruple Champion du monde a su mal cacher son mécontentement face aux performances décevantes de sa monoplace Ferrari l’an dernier, ainsi qu’à la rivalité avec son prodigieux coéquipier, le jeune Charles Leclerc. Statistiquement parlant, Sebastian Vettel est l’un des pilotes les plus accomplis en F1. Ceci dit, son passage chez Ferrari ne l’a pas comblé et il mise sur la lancée de cette nouvelle écurie pour rattraper le temps perdu.

 

Alpine

Le grand manufacturier français Renault cherche à mousser les ventes de sa nouvelle ligne de voitures sport : Alpine. C’est ainsi que la prestigieuse et historique écurie Renault, qui se trouvait à perdre des plumes en F1, a trouvé un nouveau nom pour 2021. Avec le changement de nom, vient aussi un changement inattendu au niveau de la direction. L’ancien chef d’équipe, le bien connu Cyril Abiteboul cède sa place à Davide Brivio. Si le nom du nouveau chef d’équipe vous est familier, c’est parce qu’il est bien connu dans le monde du MotoGP, où il a dirigé l’équipe Yamaha dans les bonnes années de Valentino Rossi, et par la suite il a aussi dirigé l’équipe Suzuki MotoGP. Malgré des changements mécaniques modestes, Alpine souhaite retrouver sa place sur le podium à l’aide d’un autre nom familier dans le monde de la course : Fernando Alonso. 

Eh oui, après deux ans à relever des défis sur les circuits Indy, avec des nouvelles victoires en Le Mans et dans les Rally Dakar, Fernando Alonso est de retour pour un autre tour de circuit en Formule 1. Ce pilote d’expérience devrait permettre à Alpine d’accélérer le développement de leur monoplace pour les remettre en mode compétitif le plus rapidement possible.

Celui qui risque de bénéficier grandement de piloter aux côtés d’un ancien Champion du monde, est le jeune pilote français Esteban Ocon qui est de retour pour 2021. Ocon est l’un des pilotes les plus déterminés et sa grande éthique de travail devrait lui porter fruit à sa deuxième année de travail avec l’écurie. En 2019, il a dû passer l’année sans volant, compte tenu que son ancien employeur, l’écurie Racing Point était à la recherche d’un pilote avec des poches profondes ou des commanditaires importants. Sa place dans une écurie française compense certainement avec les adeptes de Formule 1 en France.

 

Scuderia Mission Winnow Ferrari

Ferrari est synonyme de Formule 1, et en Italie la passion pour l’écurie au cheval cabré est quasi religieuse. C’est donc sans surprise que les piètres performances de l’écurie en 2020 ont été une grande déception pour leurs partisans. Rien semblait fonctionner pour Ferrari la saison dernière. Le moteur était anémique comparativement à celui de Mercedes, et les réglages n’ont que très rarement été au point lors des courses. Sebastian Vettel ne réussit pas à exploiter la voiture et Mattia Binotto, le chef de l’écurie Ferrari, lui fait savoir tôt dans la saison que son contrat ne sera pas renouvelé. La Scuderia, qui était réputée pour l’embauche de pilotes d’expérience, a signé en 2018 le jeune monégasque Charles Leclerc, et pour 2021, ils sont allés chercher un autre jeune pilote talentueux, l’espagnol Carlos Sainz. Aussi, pour 2021, un tout nouveau moteur propulsera la monoplace italienne et des améliorations au niveau de la suspension et géométrie arrière devraient aider leurs deux jeunes pilotes à trouver plus de rythme cette année.

Carlos Sainz réalise un rêve d’enfance, soit de conduire pour Ferrari, et arrive avec un certain niveau maturité malgré son jeune âge. Son attitude calme et professionnelle, qu’il a probablement hérité de son père, un ancien double champion du monde en rally, devrait bien lui servir pour réussir chez la Scuderia.

De son côté, Charles Leclerc, ne peut que souhaiter que sa voiture redevienne compétitive. Le jeune pilote étoile a récolté quelques points la saison dernière malgré les difficultés avec sa monoplace.

Seul le temps dira si ces deux jeunes poulains pourront galoper à vive allure, ou s’ils devront contenir leur testostérone le temps d’améliorer leurs voitures.

 

AlphaTauri Honda

L’écurie AlphaTauri, anciennement connue sous le nom de Toro Rosso, se veut l’écurie école de l’équipe Red Bull. Cependant, en 2020 cette écurie a laissé le monde de la F1 savoir qu’ils ne sont pas seulement une équipe de développement, mais bien une équipe à prendre de plus en plus au sérieux. L’équipe mise sur la continuité pour 2021, en faisant que quelques ajustements mécaniques au train avant et le nouveau moteur Honda devrait leur donner un petit avantage concurrentiel supplémentaire.

Pierre Gasly est un ambitieux et talentueux pilote français qui a souffert de plusieurs rebondissements au cours de sa courte carrière en F1. Ayant été promu à l’équipe Red Bull en 2019, il n’a pas pu conserver sa place aux côtés de Max Verstappen et a dû céder son volant à un autre jeune pilote, Alexander Albon. D’une grande résilience, Pierre Gasly a su démontrer son savoir-faire derrière le volant de sa Alpha Tauri en décrochant une première place au grand prix d’Italie l’an dernier. Cette année, il souhaite se démarquer davantage pour pouvoir retrouver un siège avec Red Bull.

Yuki Tsunoda est à sa première année en Formule 1. Ce jeune espoir japonais démontre qu’il a une capacité d’apprentissage extraordinaire. Il aura passé de Formule 4 à Formule 1, en moins de quatre ans. De plus, il est arrivé au sommet de la course automobile avec peu de connaissance des circuits Européens, ce qui ne l’a pas empêché de terminer sa saison de Formule 2 en troisième place. S’il continue cette progression fulgurante, ça ne sera pas long qu’il donnera du fil à retordre à son coéquipier.

 

Alfa Romeo Racing ORLEN

Si Ferrari a souffert en 2020, Alfa Romeo en a arraché. L’écurie a récolté un total de 8 points au cours de la saison. Malgré l’expertise et les années d’expérience du pilote Kimi Raikkonen, l’écurie Alfa a été inconsistante et son groupe motopropulseur s’est avéré une source de frustration. Pour 2021, de légères améliorations au train avant ont été faites et le nouveau moteur Ferrari devrait redonner à Alfa Romeo l’impulsion qu’ils ont besoin pour sortir du trou.

Au niveau des pilotes, on a choisi la continuité avec le vétéran Kimi Raikkonen et le jeune espoir italien Antonio Giovinazzi, dans l’espoir d’obtenir des données probantes qui serviront au développement d’une bien meilleure voiture pour 2022.

 

Uralkali Haas

L’écurie Haas poursuit sa descente vers le fonde la grille, et concurrencera Williams pour la dernière place cette année. À court d’argent et limités par les restrictions, l’écurie fait un minimum de changements mécaniques et autre qu’installer le nouveau moteur Ferrari, ils profiteront de l’année 2021 pour replacer les pions sur l’échiquier en prévision de 2022.

Les nouveaux commanditaires allemands et russes semblent avoir exigé des pilotes issus de leurs pays respectifs. Donc le chef d’équipe de Haas, Guenther Steiner a dû laissé partir pas un mais bien les deux pilotes précédents. C’est ainsi que Kevin Magnussen et Romain Grosjean se trouvent sans volant pour le futur prévisible.

De l’Allemagne on trouve nul autre que Mick Schumacher, fils de l’ancien Champion du monde et légende Michael Schumacher. À sa première saison en Formule 1, Mick devra démontrer que l’héritage de son père continue en lui. Preuve qu’il est déterminé, il a décroché le titre de Champion F2 l’an dernier et il a été couronné Champion F3 en 2018. Il y a beaucoup d’engouement dans la communauté pour voir ce que ce jeune pilote sera capable de faire en F1.

De la Russie, on trouve Nikita Mazepin, qui apporte avec lui un commanditaire de poids : UralKali, une compagnie Russe de production d’engrais potassique, l’une des plus grandes dans le monde. Avec ces nouveaux pilotes, l’écurie s’assure d’avoir énormément de visibilité et des coffres bien remplis pour quelques années.

 

Williams

En Formule 1, Williams est une marque tout aussi bien connue que Ferrari ou McLaren. Gérée par la famille Williams-même, cette écurie mythique a été en chute libre au cours des dernières années, ce qui a culminé avec la vente de l’équipe à un consortium d’investisseurs : Dorilton Capital.

Avec de nouveaux propriétaires arrive aussi une nouvelle gestion, et les rênes seront confiées à Simon Roberts l’ancien directeur des opérations chez McLaren. La famille Williams n’est plus présente, cependant un peu de continuité est assuré par l’entremise des deux pilotes qui demeurent inchangés.

Derrière le volant on retrouve George Russell, qui a gagné en popularité l’an dernier lorsqu’il a remplacé Lewis Hamilton lors du Grand Prix de Sakhir. Pendant cette course, George a quasiment réussi à remporter la course, mais a été empêché par un cafouillage dans les pit et une crevaison en fin de course. Sa réputation n’est plus à faire, il doit juste attendre d’avoir une bonne voiture entre les mains. Son futur se trouve fort probablement chez Mercedes, et qui sait, possiblement dès la saison prochaine.

Finalement, Nicholas Latifi est un jeune pilote canadien, né à Toronto. Il est à sa deuxième saison en Formule 1 et doit se démarquer davantage en 2021 s’il souhaite conserver un siège pour l’an prochain.

Au niveau de la monoplace, plusieurs améliorations ont été faites. Notamment pour sauver du poids, simplifier certains systèmes, et rendre la voiture plus fiable. Le partenariat avec Mercedes et la mise-à-jour du groupe moteur pourrait aussi s’avérer un atour pour rendre cette écurie plus compétitive.

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Calendrier Formule 1 2021 et courses sprint

Un total de 23 grand prix sont prévus cette année. 

À titre d'essai et en guise de qualification, la Formule 1 va instaurer des 'qualifications sprint' lors de trois manches du calendrier, pour déterminer l'ordre de départ pour la course du dimanche. 
Ce nouveau format proposé, verrai des qualifications le vendredi (au lieu des pratiques) qui établiront l'ordre de départ pour une course courte le samedi, qui décidera l'ordre de la grille de départ pour le grand prix du dimanche.
Pour le moment, rien n'est décidé encore. Cependant, les circuits qui font partie de la courte liste de candidats pour ce nouveau format sont le GP du Brésil, le GP d'Italie, le GP de Grande-Bretagne et notre propre GP de Montréal.  

Ronde	Date	Pays	Circuit
1	26 au 28 mars	Royaume de Bahreïn	Sakhir: Circuit International de Bahreïn
2	16 au 18 avril	Italie	Imola: Autodromo Enzo e Dino Ferrari
3	30 avril au 2 mai	Portugal	Portimao: Autódromo Internacional do Algarve
4	7 au 9 mai	Espagne	Catalogne:  Circuit de Barcelona-Catalunya
5	20 au 23 mai	Monaco	Monte Carlo: Circuit de Monaco
6	4 au 6 juin	Azerbaïdjan	Baku City Circuit
7	11 au 13 juin	Canada	Montréal: Circuit Gilles Villeneuve
8	25 au 27 juin	France	Le Castellet: Circuit Paul Ricard
9	2 au 4 juillet	Autriche	Spielberg: Red Bull Ring
10	16 au 18 juillet	Grande-Bretagne	Silvertstone Circuit
11	30 juillet au 1 aout	Hongrie	Budapest: Hungaroring
12	27 au 29 aout	Belgique	Spa-Francorchamps
13	3 au 5 septembre	Pays-Bas	Circuit de Zandvoort
14	10 au 12 septembre	Italie	Autodromo Nazionale Monza
15	24 au 26 septembre	Russie	Sochi Autodrom
16	1 au 3 octobre	Singapore	Singapore: Marina Bay Street Circuit
17	8 au 10 octobre	Japon	Suzuka International Racing Course
18	22 au 24 octobre	États-Unis	Austin: Circuit of the Americas
19	29 au 31 octobre	Mexique	Ville de Mexico: Autódromo Hermanos Rodríguez
20	5 au 7 novembre	Brésil	São Paulo: Autódromo José Carlos Pace
21	19 au 21 novembre	Australie	Melbourne Grand Prix Circuit
22	2 au 5 décembre	Arabie Saudite	Jeddah Street Circuit
23	10 au 12 décembre	Abu Dhabi	Yas Island: Yas Marina Circuit

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Et on roule en 2021!
Voilà! On espère que vous êtes maintenant mieux préparés, faites-nous part de vos impressions ou laissez-nous des questions dans la boîte commentaires ci-dessous.
Bonne saison de Formule 1.

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